Scié dans l'asphalte du coeur, le mot
Ombre de lui-même redevient opaque.
Marbre de froideur à la léthargie nouvelle
Brise mes côtes et fais de moi ton héros
Rien qu'au son, rien qu'aux chaînes,
Entravées par le mur de mes maux!
Sombre dans le silence, et ne redeviens plus
Orage, Oh ma rage, pluviale et intempestive
Marécages de sable d'or à couronne d'épines
Brouillées! Sois digne et redeviens mère
Retour aux sources de la mort
Enfante, et sème, les mots jamais ne sont stériles.
Souffre, toujours c'est la catharsis
Oublie, toujours c'est la catharsis
Mais vis, et rappelle-toi,vis
Bois et danse, tu ne te rappelleras
Rien et tu te souviendras de tout
Et tout ne t'est rien!
2 commentaires:
Et bien, maintenant que j'ai moi aussi la possibilité de te laisser des commentaires, en voici un premier !
Continue d'écrire ces mots qui me parlent.
@samitriani : ben je te paye en t'embauchant pour que tu composes un des moreaux de mon prochain film. Si tu veux bien sûr...
Ce soir,impossible de venir au Boeuf, je garde mon petit frère :) Mais tu me raconteras hein? ;)
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